Découvrir le Livre

Le livre se subdivise en sept grandes parties principales – comme le titre le suggère - ; et ouvre sur des compléments d’informations qui traitent de certaines dispositions générales, préparatoires et/ou associées au leadership et à son rayonnement. Cette dernière partie, intitulée Annexes et Conseils pratiques pour un leadership efficace est traitée au point VIII, avec des sous-parties (A ; B ; C et D).

Comme clairement affiché par le titre, l’objectif assigné au livre est de circonscrire la maîtrise du leadership - science mêlée d’art dans la conduite de soi et de groupe – afin de permettre à quiconque voulant y accéder, de le faire au moyen de ces démarches, à la fois simples, rigoureuses et efficaces.

La première partie est intitulée ‘’La conscience de soi’’

Elle ouvre sur la perspective de la prise en charge effective du sujet par lui-même ; c’est-à-dire à une série de questionnements sur son identité effective : qui suis-je et d’où je viens ? Comment suis-je arrivé là et où suis-je amené à me destiner ? Cette partie fait le point d’une forme d’introspection de l’individu dans le but de créer ou lui restituer sa pleine conscience d’être vivant, différent des autres et de la mêlée ; cependant, appelé à exister et à se prendre entièrement en charge – en ne comptant sur personne d’autre que lui-même.

La deuxième partie a pour titre : ‘’Le Développement personnel’’

Elle présente deux sous parties scindées en A- La mauvaise estime de soi, et B - La bonne estime de soi. Cette partie peut être considérée comme un indicateur de l’état de la personne, au moment précis où celle-ci se soucie et prend conscience d’elle-même. Elle oscille entre deux pôles : celui qui apparaît comme le reflet de l’intériorisation d’idées négatives, destructrices et amoindrissantes de la personnalité d’une part ; et celui qui brandit une lueur positive de la personnalité débarrassée de toutes formes de penchants et/ou d’attelages négatifs, et qui est résolument orienté vers des quêtes supérieures d’amélioration de soi, d’autre part. Si la mauvaise estime de soi constitue un boulet infranchissable pour l’accession au leadership, il y est clairement affirmé que la bonne estime de soi, contient les germes précurseurs au leadership.

La troisième partie : ‘’le culte de l’ensoi ou l’affirmation de notre personnalité’’

fait suite à la bonne estime de soi – option avantageuse du développement personnel – et porte le sujet vers une quête de positionnement supérieure. Elle insiste sur l’affirmation de l’individu dans sa volonté d’advenir, de se singulariser et de prouver son identité propre à lui – toutes choses construites sur la base de l’amour propre et de l’orgueil. Cette phase se définit comme celle de l’énergie supérieure qui amorce l’accession au leadership.

La quatrième partie dénommée : ‘’La société, les autres et nous’’

est une forme de détour – par les autres – avant de revenir à l’impétrant au leadership. Elle est une forme de résumé de l’impact que la société, à travers son système d’éducation-formation-apprentissage, lègue à l’individu. Cet impact a pour effet de créer un complexe d’infériorité, de supériorité ou, de produire chez le sujet social, un sentiment mitigé de sa personne – de ce qu’elle vaut réellement. Ce fondement sociologique est un ferment complexe qui oriente tout homme dans ses choix (de) et son ardeur dans la compétition ou, simplement au travail…Il peut propulser l’individu dans les sillons de la perfection, ou le réduire à l’exécution de tâches de moindre importance – dans une perspective ‘’d’accompagnement des autres’’.

La cinquième partie est intitulée : ‘’ La conscience aiguë du dépassement’’

Elle insiste sur la principale qualité du leader. Le leader s’engage pour être le meilleur ; et non, pour un résultat intermédiaire. Et cette obsession d’être toujours à la tête le contraint à une culture de la perfection, de l’excellence et de l’optimum qui ne peut cohabiter qu’avec une conscience inébranlable de dépassement.

La sixième partie, ‘’une culture inébranlable de l’Excellence’’

Réfère aux réflexes que cultive en permanence le leader. Le leadership n’est pas une acquisition définitive qui confère l’immuabilité de la position. C’est un processus appelé à être dynamique, et donc à s’éprouver dans le temps et sur la durée. C’est pour cette raison qu’il appelle – pour son maintien - un exercice inlassable visant à reproduire l’Excellence de façon continue et ininterrompue : d’où la culture de l’Excellence.

La septième et dernière marche est : ‘’L’étroite voie de la concurrence victorieuse’’.

‘’Many are called, few are chosen’’ (Beaucoup d’appelés, peu d’élus). S’il est possible d’atteindre au stade de leader, il n’est, cependant, pas facile d’y demeurer. Après de nombreuses années de bataille, de luttes acharnées et de quêtes menées dans la rigueur et l’obsession, l’on arrive à accéder au stade de leader. Cependant, comme tout couronnement dans l’activité humaine, le leadership fait face à une concurrence rare et forte. En plus d’en avoir conscience, le leader doit persévérer dans la concurrence aux moyens de la veille, de la prospective, de l’intelligence et du génie de l’inventivité adaptative…S’il veut conserver pour longtemps, sa couronne !

A PROPOS DE L'AUTEUR

Professeur Raphaël KOUASSI est ancien normalien, Docteur de l'université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand II (France), maître de conférences (CAMES), Enseignant-chercheur, Spécialiste en Leadership, Développement personnel, Art du discours. Écrivain, Formateur, Conférencier, Coach et Motivateur.

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